Communiqués

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Le 25 octobre 2021

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Communiqué de presse des collectifs Stop CETA-MERCOSUR et Or de Question

Montagne d’or : les investisseurs russes réclament 4 milliards € à la France devant un tribunal arbitral. Il est temps de mettre fin à ces tribunaux d’arbitrage

Le projet aurifère de la Montagne d’Or fait à nouveau parler de lui : l’entreprise Nordgold réclame 4 milliards € à la France en réparation de la décision du gouvernement français de ne pas prolonger la concession minière en question. Ce contentieux est ouvert devant un tribunal arbitral dans le cadre du Traité bilatéral de protection des investissements entre la France et la Russie qui est entré en vigueur en 1991. Les collectif Stop CETA-Mercosur et Or de Question apportent leur plein et entier soutien aux organisations et citoyens mobilisés depuis des années contre ce projet et renouvellent leur appel consistant à débrancher le plus rapidement possible ces mécanismes de protection des investisseurs (ISDS) qui font obstacle au pouvoir de réglementation des États.

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Le 2 septembre 2021

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Nouvelle campagne de greenwashing du projet minier Montagne d’Or à quelques heures de l’ouverture du Congrès mondial de la nature : qu’en dîtes-vous Monsieur Macron ?

“Le projet Montagne d’Or ne se fera pas” avait annoncé le Président de la République en juin 2019, et pourtant, la compagnie minière vient de publier un communiqué de presse annonçant le contraire. A la veille de l’ouverture du Congrès Mondial de la Nature (UICN), Oréa Mining (ex Columbus Gold), société actionnaire du consortium Montagne d’or annonce une nouvelle mouture du projet minier industriel entièrement greenwashé.

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Le 4 décembre 2020

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Alors que le Tribunal Administratif de Cayenne examinait le 3 décembre deux requêtes de la compagnie minière Montagne d’Or, attaquant la décision de l’État d’avoir gardé le silence sur la demande de prolongation de deux de ses concessions minières, ce dernier a été aux abonnés absents.

Par cette politique de la chaise vide, l’Etat trahit ses engagements dans ce dossier tant décrié, alors que tout semblait limpide en mai 2019 pour les représentants du Gouvernement qui annonçaient, devant les médias et à l’Assemblée Nationale, que « le projet de Montagne d’Or ne se fera pas, le projet est incompatible avec les exigences de protection de l’environnement, de préservation de la biodiversité, de lutte contre le changement climatique, qui sont défendues par ce gouvernement et exigées par les Français ».

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Le 14 août 2020

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Courriel adressé au Préfet de Guyane

Monsieur le Préfet,

Les événements dramatiques survenus récemment au Liban et consécutifs à des négligences coupables sur la gestion d’un stock de 2750 tonnes de nitrate d’ammonium dans le port de Beyrouth nous amènent à vous interpeller sur le danger potentiel d’un tel stockage en Guyane Française.

En effet, comme le stipulait textuellement le dossier du maître d’ouvrage (1) de la Montagne d’Or, le nitrate d’ammonium est l’explosif de référence de ce projet d’extraction minière industrielle auquel nous nous sommes opposés. On peut y lire : « La fragmentation des roches dures sera réalisée à l’aide de tirs de mine réguliers impliquant la mise en œuvre de produits explosifs à base de nitrate d’ammonium, …».

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Le 14 août 2020

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Courriel adressé au Préfet de Guyane

Monsieur le Préfet,

Les événements dramatiques survenus récemment au Liban et consécutifs à des négligences coupables sur la gestion d’un stock de 2750 tonnes de nitrate d’ammonium dans le port de Beyrouth nous amènent à vous interpeller sur le danger potentiel d’un tel stockage en Guyane Française.

En effet, comme le stipulait textuellement le dossier du maître d’ouvrage (1) de la Montagne d’Or, le nitrate d’ammonium est l’explosif de référence de ce projet d’extraction minière industrielle auquel nous nous sommes opposés. On peut y lire : « La fragmentation des roches dures sera réalisée à l’aide de tirs de mine réguliers impliquant la mise en œuvre de produits explosifs à base de nitrate d’ammonium, …».

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Le 14 juillet 2020

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Industrie minière en Guyane. Sébastien Lecornu souhaite « la regarder en face avec beaucoup de tranquillité, (…) d’exigences sur le terrain environnemental et en même temps ne pas balayer d’un revers de main le fait que c’est une source de développement pour la Guyane ».

Une opposition vive et sans relâche mise en avant par le Débat Public !

Alors que le débat public sur la Montagne d'Or a montré la vive opposition des Guyanais à ce projet écocide, alors qu'un sondage Ipsos commandé par le WWF France a confirmé ce refus pour 70% d'entre eux, alors que plus d'un demi-million de citoyens ont signé la pétiton “Non à la mine industrielle en Guyane”, il s'avère que le ministre des outremer préfère balayer d'un revers de main les revendications guyanaises sur la question des mines industrielles sur leur territoire.

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4 logos recours décret

Mercredi 27 mai - Aujourd’hui les Amis de la Terre France (*), Notre Affaire à Tous, Wild Legal et Maiouri Nature Guyane (*) déposent un recours devant le Conseil d’Etat afin d’obtenir l’annulation du décret du 8 avril 2020, qui généralise le droit des préfets à déroger à de nombreuses normes réglementaires, notamment en matière environnementale.

(*) membre du Collectif Or de Question

4 asso Visuel recours

Ce décret, adopté en plein confinement, permet aux préfets de contourner les normes existantes pour prendre des décisions dans des domaines étendus, tels que l’aménagement du territoire, l’environnement et la construction, ainsi que l’octroi de subventions. 

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Le 22 mai 2020

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Aujourd'hui encore, ce 22 mai, journée mondiale de la biodiversité, nous dénonçons le double discours de ce gouvernement qui affiche une préoccupation de façade pour la biodiversité mais continue dans une logique destructrice aveugle en participant à l'implantation de l'industrie minière en Amazonie.


Comme l'affirme le Président de la République parce que c'est un fait scientifiquement établi, " Protéger les écosystèmes permet de prévenir l'apparition d'épidémies comme celle du COVID-19." Cependant, ce joyau de forêts primaires abritant une vie sauvage extraordinaire, qu'est l'Amazonie en Guyane, continue de se faire dévorer par l'industrie minière sous couvert du gouvernement.


Avant-hier, ce sont 5,8 Millions d'euros de crédit d'impôts qui ont été accordés à Auplata Mining Group au titre de son investissement en outre-mer entraînant la destruction d'un milieu inestimable. L'argent continue d'être distribué aux pollueurs et destructeurs des écosystèmes, cela ne peut plus durer !


En ce jour symbolique, nous réclamons à nouveau l'interdiction de l'utilisation du cyanure et un moratoire sur l'industrie minière à effet immédiat, car quoi qu'elle  fasse, le diagnostic est posé: cette industrie ne sera jamais "compatible avec une ambition écologique et en matière de biodiversité".

 

En savoir plus :

Article Reporterre "En Guyane, les groupes miniers préparent « la grande braderie » du territoire"

Article Guyaweb (abonné) "La préfecture autorise l'usine de cyanuration d'Auplata à fonctionner"

Article Guyaweb (abonné) "Auplata : chronique d'une mue annoncée"

Article Guyaweb (abonné) "Prise de contrôle d'Auplata par Brexia International"

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En plein confinement, le nouveau projet de méga-mine à ciel ouvert de la compagnie Espérance a reçu le feu vert de la commission des mines alors que ses dirigeants sont poursuivis par le parquet de Cayenne pour pollution environnementale.

Tribune. En pleine pandémie, la commission départementale des mines s’est réunie mercredi 29 avril par visioconférence et a délivré un avis favorable au projet de mine à ciel ouvert de la Compagnie minière Espérance (CME). Le collectif Or de question et ses soutiens, signataires de cette tribune, demandent l’arrêt immédiat de ce projet ainsi qu’un moratoire sur l’exploitation minière industrielle en Guyane.

montagne dor 0 Jody Amiet

Une vue aérienne du site du projet de forage «Montagne d'or» en Guyane. ©jody amiet/AFP

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Liste complète des signataires de la tribune parue dans Libération

Les organisations locales Maiouri Nature Guyane, Trop Violans et Guyane Ecologie, les organisations nationales Ligue des droits de l’homme, Amis de la Terre France, Fondation Danielle Mitterrand et Yannick Jadot, député européen Europe-Ecologie-les Verts, Delphine Batho, présidente de Génération écologie, Fabien Gay, sénateur de Seine-Saint-Denis, Mathilde Panot, vice-présidente du groupe parlementaire France insoumise et députée du Val-de-Marne, Dominique Bourg, philosophe, professeur honoraire, Université de Lausanne, Valérie Cabanes, juriste internationaliste, Malcom Ferdinand, chercheur et auteur d’Une écologie décoloniale des personnalités de la société civile, Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd, cofondateur de Greenpeace, Fabrice Nicolino, président de Nous voulons des coquelicots, Lamya Essemlali, cofondatrice de Rewild, présidente de Sea Shepherd France, Alexis Tiouka, juriste droits humains et droits des peuples autochtones, Mawalum Amandine Galima,  porte-parole de l’organisation Jeunesse autochtone de Guyane, Bernard Lavilliers, chanteur, Pierre Richard, acteur et réalisateur, …

 

Les organisations : 

Association Citoyens Pour le Climat Guyane

ICRA International

Rouez Environnement

Association Gratte Papiers

Stopmines23 

Wild Legal

CSIA-Nitassinan (Comité de Solidarité avec les Indiens des Amériques)

Stop Pétrole Offshore Guyane

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Le 17 février 2020

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Le collectif Or de Question réclame le départ immédiat de la compagnie Montagne d'Or

Le collectif Or de Question ne baisse pas la garde. Le président de la République, Emmanuel Macron a, lors de son discours tenu ce jeudi 13 février à Chamonix, affirmé assumer son choix de mettre fin au projet Montagne d’or. Mais sur le terrain, rien n’a changé. Alors que la concession minière a expiré, l’industriel est toujours sur le site et le projet en sommeil pourrait bien se réveiller à tout moment. Le gouvernement doit donner un signal clair, refuser définitivement la demande de renouvellement et mettre un terme à ces lubies industrielles qui minent l’avenir du territoire guyanais. Or de Question réclame le départ de la compagnie Montagne d’or. 

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Le 14 octobre 2019

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Les services de l’Etat en totale contradiction avec les déclarations des Présidents à l’ONU

Alors que M. Rodolphe Alexandre, président de la Collectivité Territoriale de Guyane accompagnait M. Emmanuel Macron à l’ONU il y a quelques semaines, enchaînant les déclarations en faveur de la protection de l’Amazonie en annonçant à la tribune l’arrêt du projet Montagne d’or, la demande de prolongation de la concession sera présentée avec un avis favorable des services de l’Etat à la commission des mines de ce mercredi 16 octobre 2019.

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Le 23 mai 2019

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Après l’annonce du Ministre de la Transition Écologique et Solidaire, suite à la première réunion du Conseil de défense écologique, le collectif Or de question exprime sa profonde déception.
M. de Rugy n’a fait que réitérer les propos tenus par le Président Emmanuel Macron deux semaines auparavant, sans pour autant enterrer définitivement le projet de la compagnie Montagne d’or.

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22 mai 2019
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Jumelage entre le Collectif « Or de Question » & l'association « Stop Mine Salau »

En août 2018, dans la commune de Salau en Ariège, a eu lieu le Festival « Stop Mines & Coordination des Luttes » qui a permis de rassembler de nombreux collectifs de citoyens opposés à la relance minière tant en métropole qu'en territoires ultra-marins.

L'objectif étant, au-delà des considérations économiques, d'évoquer et d'analyser les impacts sanitaires, environnementaux et sociaux de l'extractivisme mais aussi de l'après-mine dont les effets néfastes se font toujours sentir durablement après la cessation d'activité.

A cette occasion, deux organisations, le Collectif « Or de Question » en Guyane et l'association « Stop Mine Salau » en Ariège, particulièrement déterminées à défendre l'intérêt général et leurs patrimoines naturels respectifs, ont décidé d'unir leurs forces sur deux actions concrètes :

  • La première, à l’instar de plusieurs pays européens, consista à coordonner un moratoire sur l'utilisation du cyanure dans l'industrie minière, compte tenu de nombreuses et régulières ruptures de digues de par le monde. Cette initiative connu un franc succès et fait dès lors l’objet d’une proposition de résolution à l'Assemblée Nationale et au Sénat, par plusieurs parlementaires, toutes tendances confondues.

  • La seconde se concrétise aujourd'hui par l'annonce d'un jumelage symbolique entre « Or de Question » et « Stop Mine Salau ».

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12 février 2019

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Plus d’un an après le dépôt du recours contre l’autorisation de travaux miniers sur la concession de la compagnie Montagne d’or, le juge administratif a donné raison à l’association requérante Maïouri Nature Guyane, partenaire du collectif Or de question contre l’autorisation d’exploitation aurifère alluvionnaire dit “Boeuf mort” sur la concession de la compagnie Montagne d’or. Le collectif se félicite de cette première victoire dans la lutte contre le projet Montagne d'Or et l'extractivisme en Guyane.

Pour rappel, le recours déposé contre l’arrêté en date du 13 décembre 2017 par lequel le préfet de la Guyane a autorisé la société Montagne d'Or à ouvrir les travaux d'exploitation d'or alluvionnaire sur la concession de la compagnie minière avait soulevé de nombreux motifs d’annulation.

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Le 16 novembre 2018

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Communiqué co-signé par Or de Question, France Liberté, Nature Rights et Jeunesse Autochtone de Guyane

Les opposants réaffirment leur rejet de la méga-mine

La décision a été mise en ligne le 16 novembre. La compagnie Montagne d’or, responsable du méga projet de mine d’or à ciel ouvert en Guyane, annonce une série de modifications de ce projet, que les opposants Or de question, la JAG, France Libertés et Nature Rights qualifient d’écran de fumée.

Modifications dérisoires du projet Montagne d’or : un écran de fumée

 Une énième volte-face sur l’approvisionnement en énergie, quelques changements techniques sans réel impact, les “modifications d’ampleur et des améliorations significatives” annoncées sont un écran de fumée qui ne trompe personne. Le collectif Or de question, la JAG, France Libertés et Nature Rights prennent acte des déclarations faites par la compagnie Montagne d’or, et dénoncent des ajustements superficiels et dérisoires du projet de mine industrielle, qui n’ébranlent en rien leur opposition au projet.

La compagnie Montagne d’or annonce des modifications pour une “meilleure insertion dans le territoire”, en réalité il s’agit de mettre en place une production d’énergie sur le site, afin “de ne pas affecter la sécurité d’approvisionnement en énergie des Guyanais”. Une idée qui, contrairement à la volonté affichée par la multinationale de maximiser les retombées pour le territoire, ne profitera en rien à la population puisque le site sera alors autonome. Le collectif Or de question est particulièrement sceptique quant à la possibilité de produire 20 mégawatts grâce à l’énergie solaire, soit l’équivalent de la consommation de la ville de Cayenne, de manière continue et régulière. Ceci laisse redouter un emploi massif d’énergie fossiles pour assurer l’alimentation du site.